Les meilleurs cavaliers sont ceux qui savent contrôler leur mental et rester zen quelles que soient les réactions de leurs chevaux. Si le cheval est programmé pour fuir, il est aussi programmé pour anticiper les intentions des prédateurs. Il est donc tout particulièrement attentif à vos gestes, à votre comportement et même à votre état mental : peur, colère, satisfaction…
Cette capacité de perception, il faut au contraire être capable de l’exploiter, de la cultiver pour amener le cheval à réfléchir avant d’agir, à chercher la solution au lieu de paniquer.
Tout le travail d’éducation consiste donc à construire le puzzle des solutions pour le cheval pour lui permettre ainsi de trouver du confort et du bien-être physique et mental.
L’idée du puzzle est une notion importante. Si le cheval sent que tout puzzle a toujours une solution, il va analyser la situation avant d’agir.
Pour sa part, le cavalier doit considérer qu’un problème n’est souvent que la partie visible de l’iceberg, la traduction d’un malaise plus profond. Si votre cheval s’arrête devant un sous-bassement, c’est avant tout un manque de confiance. Dans ce cas, il faut recourir à la désensibilisation. Montrer au cheval que le sous-bassement n’est pas un danger pour lui.
Souvent, il est préférable de changer de contexte pour résoudre le problème. Cela permet de déconnecter la réaction de son environnement pour se recentrer sur les véritables fondements mentaux du cheval.
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