Les livres de Saverio Tomasella: https://amzn.to/4jeBmZb
Autosabotage, critique intérieur, relations toxiques, émotions envahissantes... les clés pour mieux comprendre nos souffrances et nous apaiser.
Saverio Tomasella est psychanalyste, docteur en psychologie clinique et psychopathologie, auteur de nombreux ouvrages dont « J’apprends à me consoler, manuel d’autoconsolation pour faire la paix avec ses blessures et ses fragilités » aux éditions Larousse.
Dans ce livre, il nous livre 30 clés pour faire la paix avec soi-même et avancer dans son cheminement personnel. Il propose également des tests et de nombreuses solutions concrètes pour aller mieux.
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Les questions de cette interview :
Pour commencer, a-t-on tous besoin d’être consolés ?
Sait-on en fonction de quoi nous en avons plus ou moins besoin selon les individus ?
Est-il possible de se consoler seul ? Est-ce aussi efficace qu’avec un proche ?
Vous parlez dans votre livre d’autosabotage. Pourquoi s’autosabote-t-on ? D’où cela vient-il et comment l’identifier dans son quotidien ?
Le manque d’indulgence envers soi est également une source de souffrance. Mais comment savoir si l’on manque d’indulgence envers soi ou si on est justement exigeant ? Et comment être plus indulgent avec soi au travail dans un environnement qui ne l’est pas du tout ?
Vous parlez du critique intérieur que nous avons tous et vous évoquez la thérapie IFS. Quel est son principe et comment identifier le critique en soi ?
Quels rôles jouent les émotions dans nos souffrances ? Quel juste dosage pour les exprimer ?
Les personnes qui jouent un rôle de sauveur dans la vie, sont souvent celles qui savent le moins se sauver elles-mêmes. Pourquoi ce phénomène ? Et comment enfin se « sauver soi-même » ?
Vous expliquez dans votre livre que nous sommes conditionnés pour faire plus confiance aux autres qu’à soi, et pourtant nous sommes les seuls à savoir ce qui est bon pour nous. Comment le savoir quand on n’a pas appris à s’écouter ?
Vous mettez en garde également contre le fait de toujours voir le positif, ce qui n’apporte pas les résultats espérés. Pourquoi ? Quels sont les risques de cette façon de voir la vie ?
Vous évoquez l’art sous toutes ses formes comme source de consolation. Pouvez-vous nous donner des exemples ?
Vous parlez de la mentalité de développement. Comment l’appliquer pour se consoler ?
Dans votre livre, vous mentionnez des musiques et des films pour se consoler. Si vous deviez en choisir trois, que choisiriez-vous et pourquoi ?